venerdì 13 febbraio 2015

Le signet improvisé

Un nouveau bouquin c'est un peu comme un voyage. Tu ouvres la première page et tu vois pas la fin, mais tu sais que, au bout d'un moment, ça va terminer. Malheuresement. Au fait non, ton livre c'est plutôt un copain dans ton voyage. Il te permet de profiter de l'itinéraire et au même temps il te suis. Petit à petit.

Il ne faut pas perdre son copain de voyage, car le fil rouge qui il a dans son intérieur se développe dans toutes ses chapitres, ses pages, avec le mouvement de tes doigts. D'ailleurs cette fois tu arrives pas à comprendre toutes les mots. Mais le sens, tu le captures. Tu commence à marcher avec lui pour adiviner ses secrets cachés et pouvoir partager les emotions.



Un signet improvisé c'est l'unique possibilité de marquer la page. L'ironie du destin a veut qui ce signet soit un ticket de metro d'une ville très connu, très exploré plusiers fois. Aimée et détestée. Le point de lecture c'est aussi le point de connaissance de ton copain de voyage, qui a déjà pris ta main et coinvote te mener vers le savoir de quelquechose encore inconnu. Et pour ça terriblement intéressant.

Le thé chaud dans le main. Les yeux qui suivent l'évolution des mots. Le sourire arrive pendant ton dialogue immaginaire avec ton copain. Ce dialogue s'agit dans une langue au debout dure à comprendre. C'était un coup de foudre. Le vrai sens va envahir ta tête doucement. Sans presse. Le signet sers pour ne pas perdre le fil rouge. Comme dans un labyrinthe. Au fond la sortie. Et la fin du voyage. 

lunedì 2 febbraio 2015

Olas de invierno

El sol tibio sale poco a poco y crecen las ganas de contemplar el azul del mar movido por un viento plácido y frío. Te atas los cordones y empiezas a aumentar el ritmo de tus pasos hasta que poco a poco se perfila el horizonte y la luz es más fuerte.

Se percibe más fuerte el olor a sal, algo que parecía haberse perdido, atrapado en los entresijos del tiempo. El ritmo se establece y el respiro es ligero, porque la vista ayuda y da más oxigeno a los gemelos. Mientras, la rodilla se apoya más confiada, ansiosa de recuperarse para la llegada de la temporada serena y leve, en la que las sensaciones mejoran cogiendo la mano del clima y de las horas luminosas.


El mar en invierno es más íntimo. Agudiza las sensaciones de los que lo quieren y no pueden vivir sin él. Hasta que unos minutos de ejercicios en las rocas te permiten sentirte para de él, mientras las gotas salpican el chubasquero y refrescan tu cara.

La musica de las gaviotas abre las orejas y enciende el corazón y el poder del mar resuena hasta las interioras del pueblo de pescadores, donde se saborea el placer de una vida cotidiana aún por madurar y de la que contar. Y por debajo el ruido de las olas que acompaña.